Je suis devenue Maîtresse à cause de sa cage de chasteté

Catégories : Facesitting lèche Homme soumis, Femdom Domination féminine Chasteté ceinture chasteté hom fem TV trans travesti sissy
il y a 5 ans
Cela fait huit ans maintenant que mon mari est sous cage de chasteté. Au départ quand il m’en a parlé, cela ne me séduisait pas de jouer la maîtresse. Pourquoi ? Tout simplement parce que je préfère m’abandonner au plaisir d’être prise avec amour que de faire la domina.

Pour lui faire plaisir, un jour j’ai cédé sous conditions. Il devait réellement jouer le jeu et quoi qu’il en soit, cela ne serait pas éternel ni notre nouveau mode de vie. Mon mari a été tellement adorable cette semaine là, que j’ai changé d’avis. En plus, sa cage de chasteté n’est pas incompatible avec mes envies d’être prise avec amour, je n’ai qu’à le libérer et j’ai ce que j’ai envie.

Il n’y a que les ânes qui ne changent pas d’avis.

Sa cage de chasteté, une cb6000 je crois a rendu l’âme pendant qu’il bricolait, nous l’avons remplacée par une cage de chasteté en métal bien plus solide sur ABCplaisir. Nous en avons choisie une aérée, c’est bien mieux pour l’hygiène, et je n’aime pas les odeurs si vous voyez ce que je veux dire. Oui vous avez bien lu, j’ai bien écrit « nous en avons choisie une » j’étais avec lui devant l’écran au moment de la commande.

Il n’y a que les ânes qui ne changent pas d’avis. Bis.

Un matin en me levant, je l’ai trouvé en train de surfer sur des trucs de travestis. Là je n’ai pas compris car il est barbu et plutôt viril. Je n’ai pas compris non plus pourquoi il bandait dans sa cage. Très gêné il n’a pas eu d’autres choix que de m’avouer que ce genre de domination humiliante l’excitait. De toute façon, il ne pouvait pas dire le contraire vue que la peau de son sexe dépassait de partout de sa cage. J’avoue m’être posée des questions sur qui était réellement mon mari. Un gay refoulé ?

Après être allée aux toilettes, j’ai constaté qu’il avait changé de site et surfait sur des trucs de moto. Cherchait-il à me cacher ses envies ? En avait-il honte ? Ce côté « caché » m’a énormément ennuyée et presque mise en colère. Je lui ai demandé si c’est c’était de ça dont il rêvait vraiment ? Sa réponse orientée vers le « non » fut très confuse, ce qui m’arrangeait bien car personnellement, mon barbu je le préfère en homme. En vrai homme.

Cette surprise matinale m’a beaucoup perturbée je l’avoue. Elle a même gâché le début du week-end. Un de trois jours en plus puisque le lundi était férié. Et puis j’ai décidé de jouer son jeu caché pour voir. Le lundi matin, en me levant je l’ai encore trouvé sur l’ordinateur mais cette fois, c’était sur des vidéos de chasteté. Je lui ai demandé d’arrêter de surfer, de se mettre nu et d’aller m’attendre dans la cuisine. Son regard étonné m’a beaucoup amusée. Après mon petit pipi, je l’ai rejoint et lui ai passé le tablier de cuisine autour du cou en lui ordonnant de faire la vaisselle et de faire la ménage à fond dans la cuisine.

Je l’ai interrompu pour jouer la maîtresse en lui demandant de faire une pause pour m’apporter mon café qui avait fini de couler. Il affichait un sourire niais en me l’apportant. Par contre, quand il est parti, voir ses petites fesses dandiner derrière le tablier de cuisine m’a amusée. C’était même mignon. Du coup, après avoir bu mon café, je suis allée fouiller dans mes affaires pour lui trouver une jupe courte qui pourrait s’adapter à sa taille. Aucune n’allait, hormis les laisser ouvertes. La ceinture de son pantalon jetée en vrac sur le sol m’a donnée la solution. La jupe ouverte devrait pouvoir tenir avec sa ceinture.

Quand il eut fini le ménage de la cuisine, j’ai défait son tablier pour lui enfiler la jupe. La ceinture posée dessus avec un petit retour pour que cela tienne n’était pas du plus bel effet, mais elle faisait son office. Quand je lui ai demandé de faire le ménage du salon, je m’attendais à ce qu’il m’envoie balader. Et bien non, il m’a répondue « oui maîtresse » ! ! !

Je me suis donc allongée sur le canapé avec mon bouquin pendant qu’il faisait le ménage. Me concentrer sur ma lecture était difficile, mon esprit analysait plus la situation qu’autre chose. Après être allée refaire un passage aux toilettes, j’ai pris une douche avant de revenir sur le canapé. Pour voir jusqu’où il irait, une demi heure plus tard, je lui ai dit qu’une « femme de chambre » pouvait justement aller faire le lit. Il m’a encore répondue « oui maîtresse » ! ! !

A son retour, pour jouer, j’ai écarté les cuisses, puis j’ai laissé courir mes doigts sur mon sexe. Je voulais juste le provoquer, l’allumer car ça j’aime bien. Mon mari a pris cette provocation comme une demande, il est venu me lécher la choune. Prise de court je l’ai laissé faire, et, comme je n’arrivais pas à venir, j’ai repris mon bouquin. Je ne n’arrivais toujours pas à le lire, mon esprit étant ailleurs. Au bout d’un moment, sa langue a quand même fini par me donner des envies. Je lui ai donné la clé de sa cage de chasteté et nous sommes allées défaire le lit qu’il venait de faire. Finalement c’était bien bon et il s’était tapé le ménage. Depuis, je lui ai acheté des robes courtes pour qu’il fasse le ménage à ma place.

Il n’y a que les ânes qui ne changent pas d’avis. Ter !

Ne rigolez pas de la suite. Une nuit je me suis levée pour mes besoins naturels. Avant d’aller me recoucher, j’ai posé sa « robe de ménage » sur le fauteuil de l’ordinateur. Il m’a apportée le café au lit sur un plateau avec des tartines !

Ces petits changements n’ont pas changé grand chose dans notre vie de couple. J’ai toujours un bon amant, qui est aussi ma femme de ménage. Je n’ai qu’à libérer l’amant pour avoir ce que je veux. La seule variable est que les préliminaires se font avec la cage de chasteté, ils durent plus longtemps..... Je ne lui donne les clés que quand j’ai envie de passer à l’acte. Ah si, quelque chose a changé. Il n’oublie plus la date de notre mariage, ma date d’anniversaire ni la saint Valentin. Il m’offre même parfois des fleurs, mais ça, c’est quand il est « en manque ». Enfin, du moins je pense.

Notre vie de couple était en parfaite harmonie, je dirai même, que ces petits jeux avait resserré les liens du mariage. Il était adorable et attentif, du coup moi aussi. Pas par réciprocité, non, simplement par envie de lui faire plaisir. Il y a des fois où je m’amuse à l’allumer quand on va se coucher en faisant des bisous à sa cage de chasteté. Quand il fait le ménage, il m’arrive de lui toucher les fesses, de me serrer contre lui pour tripoter sa cage ou de pincer ses petits tétons. Il me traite de garce ou d’allumeuse, j’adore !

Et puis un jour, il m’a parlé de libertinage. Je lui ai demandé cash si il avait envie de me tromper ou si je ne lui suffisais plus. Il s’est confondu en excuses en me disant qu’il avait mal présenté les choses avant de préciser qu’il m’aimait comme un fou, que j’étais sa reine. Voulant savoir où il voulait en venir et pourquoi il m’avait parlé de libertinage, je ne l’ai pas lâché jusqu’à ce qu’il m’avoue avoir eu le fantasme de me voir faire l’amour avec un autre homme. Dans son délire, il serait présent mais avec sa cage de chasteté. Du triolisme avec lui comme simple spectateur.

Heu, moi baiser avec un inconnu cela ne me branchait pas du tout. J’aime mon mari, il me comble, je n’ai besoin de rien de plus. Comme je ne lâchais toujours rien et voulait en savoir plus, me sentant en colère, il insista en me disant que dans son délire c’était un simple jeu. Il a ajouté que seul mon plaisir comptait dans ses fantasmes là. Ne lâchant toujours rien pour avoir le fond de ses pensées, j’ai poursuivi mon interrogatoire en tripotant sa cage de chasteté ou en malaxant ses précieuses. Chez lui, c’est pire que le sérum de vérité.

En clair, il rêvait de cocufiage, d’humiliations, de SM et de fessée, que je lui dise des mots méchants dans nos jeux et que je sois encore plus maîtresse. Heu...... ! Je ne me voyais pas en train d’insulter mon mari, de baiser avec un autre et qu’un plus il y assiste. Le fesser, quelle idée saugrenue, j’ai horreur de la v i o l e n c e.

Je suis revenue plusieurs fois sur ses fantasmes qui me travaillaient. Non pas que j’ai envie de prendre un amant, mais alors pas du tout, mais pour comprendre d’où pouvaient venir ses envies à lui. A chaque fois ses réponses, bien que plus étayées, étaient les mêmes. Il avait envie que je sois une maîtresse plus sadique, plus perverse, plus cruelle physiquement et mentalement. C’est là qu’il m’a dévoilée qu’après avoir baisé, son délire serait que j’aille me faire lécher. Cela signifiait donc sans préservatif si j’avais bien compris !!!!!!

Autant dire que sa dernière révélation ne m’a pas amusée. Si bien que j’ai décidé de lui organiser un jeu sadique. Pour commencer, je l’ai laissé dix jours sous cage sans sortie. Il a cru que je lui faisais la tête. Ma réponse a été « tu me voulais sadique, tu vas être servi ». Le soir même, je lui ai demandé d’aller s’attacher dans le lit, nu et couché sur le dos. Ce soir là, j’ai découvert que nous avions de vraies menottes de chez ABCplaisir.......

Un achat de jouets sans m’en parler méritait une punition. Au jeu pervers que j’avais prévu, j’ai ajouté des pinces à linges. Une fois qu’il fut attaché, j’ai posé ces pinces sur la peau de ses précieuses et ses tétons. Quand il m’a dit que cela faisait mal, je lui ai répondu qu’il devrait dire « merci maîtresse ». Il n’a pas aimé mais n’a plus rien dit.

J’ai baisé la lumière, pour m’allonger à côté de lui avec un vieux dildo que nous avions acheté à nos débuts, puis un vibro. Comme je ne mouillais pas, j’ai ajouté du lubrifiant. Et là, il m’est venu l’idée d’en mettre dedans après avoir pris du plaisir. Je n’y suis pas arrivée cela me perturbait. Alors j’ai joué son jeu et ses fantasmes, quitte à avoir tout sorti, autant délirer. Je lui ai dit de prendre exemple sur son amant, qu’il baisait bien mieux que lui tout en m’enfonçant le dildo dans la choune. Et là, gag, j’ai vu sa cage de chasteté s’agiter !

En guise de plaisir, j’ai joué l’artiste d’un film porno. Mon vocabulaire fut simple, ah, oui, encore, baise-moi, plus fort puis des hums. De temps en temps j’ajoutais qu’il baisait bien mieux que mon cocu. Au plus je disais des insanités dégradantes de ce genre, au plus sa cage de chasteté bougeait. Son sexe était tellement pris de contraction que je me suis demandée s’il n’allait pas jouir sans aucun attouchement ! ! ! ! N’étant pas ravie et n’arrivant toujours pas à prendre du plaisir, il m’est revenu en mémoire qu’il aimerait lécher après. Je me suis tartiné la choune de lubrifiant, j’en ai mis dedans et je suis allée m’asseoir sur son visage en lui disant de lécher. Il n’a pas aimé, le lubrifiant n’était pas bon.

Alors, pour le motiver, et encore une fois faire ce qu’il aime, j’ai retiré les pinces à linge de ses tétons pour les titiller. (Je ne savais pas qu’il faut les retirer doucement et que cela fait réellement mal) Quand je les ai retirée, il a hurlé et pour le faire taire, j’ai écrasé son visage avec ma choune et j’ai joué avec ses tétons. Sa langue s’est soudain agitée, il m’a dévorée et faisait même rentrer sa langue dans mon vagin. Il a soudainement abandonné ma choune pour me lécher l’anus comme un malade. C’est la première fois qu’il me faisait ça.

Il semblait tellement adorer me bouffer le cul, que j’ai écarté les fesses avec mes mains pour lui donner un meilleur axé à cette partie de mon anatomie. Les bonds qu’il faisait en me bouffant le cul, cette situation nouvelle pour moi ont commencé à m’exciter. J’ai repris le vibro pour m’occuper de moi. C’est venu très rapidement contrairement à d’habitude, j’ai même fait deux tours avant de m’écrouler sur lui. Alors que je reprenais mon souffle, j’ai découvert que sa cage de chasteté était pleine de sperme. Il avait joui en étant martyrisé et en me bouffant le cul. Bon, il n’a pas aimé non plus quand j’ai retiré les pinces à linge de la peau de ses précieuses. Je n’ai eu aucun remords, il m’avait demandée d’être sadique, je m’étais pliée à ses envies, il n’avait qu’à en assumer les conséquences.

J’étais déchaînée ce soir là, j’ai ramassé son sperme avec les doigts et je les lui ai logé dans la bouche. Il n’appréciait pas vraiment, mais je n’en avais rien à faire. Ce n’est qu’après que je me suis faite peur en réfléchissant à ce que nous avions vécu. Comment avais-je pu aimer le voir avoir mal ? Comment avais-je pu aimer lui faire lécher ma choune pleine de lubrifiant ? Comment cette situation assez extrême pour moi avait-elle pu m’exciter en me faire jouir aussi rapidement ?

Quoi qu’il en soit, il ne m’en a pas voulu, bien au contraire, le lendemain il m’a adressée un texto avec des coeurs. Lui qui n’est pas un lover, c’est dire s’il avait apprécié sa soirée. C’est là que je me suis dit que si un mec me plaisait bien, son idée de cocufiage et de me faire lécher après pouvait être finalement amusante et ..... jouissive.

Il n’y a que les ânes qui ne changent pas d’avis. Quater !

Ses tétons furent douloureux quelques jours, même son tee-shirt lui faisait mal. Alors pour me faire pardonner, je me suis allongée nue sur lit et j’ai écarté mes fesses en lui disant de lécher. Comme il s’est bien appliqué.... j’ai retiré sa cage de chasteté en lui faisant plein de bisous en même temps. Ce soir là, mon mari m’a défoncée comme jamais, c’était trop bon. Ce vilain n’a pas voulu lécher après et ça, je ne le comprenais pas. Le perme d’un autre « oui », le sien « non » ? Pour moi ce n’était pas logique. En fait si, une fois que l’homme a joui, après, ses lubies et ses fantasmes s’envolent.

J’ai réussi à lui faire bouffer son sperme une fois, mais je l’avais attaché et chevauché avant d’aller m’asseoir sur son visage. J’ai moins aimé, quand je lui retire sa cage c’est pour qu’il me baise comme j’ai envie.

Bon, je vais arrêter là mes confidences érotiques de maîtresse débutante, je vous raconterai peut-être la suite si le mec que j’ai en contact sur fessestivites accepte de me baiser à côté de mon mari.

FIN

TSM

Forum de discussion autour de la chasteté

Il y a ici plus de 900 vidéos autour de la chasteté SANS pub

Acheter une cage de chasteté à votre mari

Les histoires érotiques plus hard de TSM sont ici

Cette ressource n'a pas encore été commentée.
Publicité en cours de chargement